vendredi 30 mai 2014

Billet Flash #23 - Sécurité rentière, injustices et coups de gueule !

Salut blabla, c'est encore et toujours Furano. Aujourd'hui, un BF assez spécial puisque je vais parler de mes coups de gueule du moment, les trucs après quoi je rage. Alors quand je dis "pour le moment", c'est que ça n'est pas prêt de changer, je pense. Mais avant je vous invite à voir le spot publicitaire ci-dessous :
Quand je dis spot publicitaire, j'ai un peu tort. Ce n'est pas une "pub" mais une séquence prévention/sensibilisation comme on en a l'habitude d'en voir de la part du gouvernement. Alors celle-là date de 2012 mais j'ai découvert, à mon grand étonnement, qu'ils l'avaient remis au goût du jour sur des sites tels que dailymotion, par exemple, lorsqu'on s'apprête à regarder une vidéo. J'ai bien aimé ce spot : clair, concis, rapide (ils ont supprimé une réplique), ça donne à réfléchir, les images sont vraiment très chocs et le texte au ton paradoxal m'a laissé bouche bée : ce texte sonne vraiment très juste et correspond bien à la réalité. Je pense que c'est le spot que j'ai le plus apprécié. Petite étude des phrases du texte :
"Tant qu'il y aura trop d'alcool dans le sang d'un conducteur, il y aura du sang sur les routes. Tant qu'un conducteur ratera un virage parcequ'il n'a pas voulu rater un appel, on appelera une ambulance. Tant qu'un véhicule de 3 tonnes ignorera un scooter de 100 kilos, il y aura des tonnes de dégâts. Tant que la vitesse inscrite sur les compteurs dépassera celle inscrite sur les panneaux, les accidents ne ralentiront pas. Tant qu'on continuera  à penser que ce sont les autres qui conduisent mal, sans penser que les autres, c'est nous tous, tant qu'on ne comprendra pas que le code de la route n'est pas là pour nous faire perdre des points de permis mais pour nous faire gagner des années de vie. Tant qu'il y aura des mort, il nous faudra agir pour des routes plus sûres. Tous responsables pour la sécurité routière."
Oui, c'est vrai, on parle ici des raisons récurrentes quant aux accidents de la circulation : la consommation d'alcools et de stupéfiants qui multiplie considérablement les risques, le putin de smartphone : on lit et on envoie ses SMS, on téléphone du coup, on n'est plus concentré sur ce qui se passe sur la route, récemment, au journal, on parle même de ceux qui jouent à des jeux sur leurs smartphones en conduisant, mais c'est hallucinant ! Le coup de gueule que je veux passer ici est simple : pitié, quand on est sur la route, d'une part on la partage (entre tous les véhicules : poids lourds, super poids lourds, fourgons, camionnettes, voitures, 2 roues motorisés, vélos, piétons), d'autres part on respecte le code de la route (les panneaux, les priorités, etc...) et enfin, on se concentre uniquement sur la maitrise de cette dernière et de son véhicule. Circulant souvent en motocyclette, je ne compte même plus le nombre de fois où j'ai manqué de peu l'accident parcequ'un tel était au tel ou parcequ'un tel avait ouvert sa portière sans regarder, ou même qu'un tel avait déboîté sans clignotants et sans coup d'oeil dans ses rétros et dans son angle mort. Ca peut tous nous arriver d'être distrait mais croire en permanence qu'on est seul sur la route, qu'elle nous appartient et qu'on a dans tous les cas la priorité et qu'on peut gérer sa conduite avec le portable dans une main, la cigarette dans celle qui tient le volant, l'auto radio avec le volume à 33 et 3g d'alcool dans le sang...c'est juste dégeulasse, aller vous suicider dans un arbre comme les 5 morts d'hier au cap d'agde avec leurs 607 et Megane qui ont officiellement perdu le contrôle de leurs véhicules après une course poursuite : mais il faut arrêter de rêver, on est pas dans Need For Speed, la route n'est pas un circuit.

Mais je pense que le gouvernement s'y prend mal. Le but de ce dernier, on le connait tous : faire passer le nombre de tués sur les routes sous la barre des 2000 par an avec des campagnes télévisés et internet chocs, jusque là ça va (bien que pourquoi ne pas passer par de la campagne humouristique pour voir si ce n'est pas plus efficace de capter l'attention des populations par le comique plutôt que par la crainte et la terreur des vidéos trash et morbides? Juste une idée comme ça). Ce que je ne comprends pas est que d'un autre côté : les forces de l'ordre (et donc l'Etat) ne font qu'installer un climat de répréssion qui vise plus à sanctionner l'automobiliste plutôt que de faire la part des choses, éduquer les conducteurs, les sensibiliser au partage de la route et à toutes les valeurs pour une meilleure circulation des véhicules. On parle alors d'une sécurité rentière, c'est à dire : mettre en place des moyens rentables qui vont sanctionner les usagers plutôt que de mieux les prévenir au nom de la sécurité sur nos routes. Tout ça pour quoi ? Toujours pour que l'argent ne puisse aller qu'à sens unique : de nos poches vers celles de l'Etat. C'est ça que je dénonce et c'est pourquoi je m'insurge : l'autre jour, je circulais en voiture avec mon neveu de 2 ans derrière, ma soeur et son chien quand un feu passa au rouge, surpis, je n'avais tout simplement pas le temps de freiner car je roulais à 50km/h (15m avant le feu) sans risquer le coup de frein brutal qui aurait été trop brusque et fatal pour mes freins, mes roues, etc... et qui aurait fait souffrir inutilement tous mes passagers car je n'avais pas d'ABS et un blocage des roues + un freinage appuyé aurait été fort désagréable, d'autant plus que c'est pas comme si je franchissait le feu rouge 3 secondes après qu'il le soit devenu mais je l'avais franchi vraiment une demi-seconde trop tard et manque de peau, une voiture de police patientait dans une ruelle perpendiculairement adjacente et m'interpella plus loin : malgré mes justifications, c'était peine perdu : "c'est mon métier et je constate ainsi que mes 4 collègues que vous avez franchit un feu rouge donc ce sera 135€ et -4points sur votre permis"...j'étais outré...aussi bien par leur mentalité pourrie, bornée et robotisé orienté vers la sanction sans compréhension, tolérance, etc... mais aussi par la sévérité de la double punition : €€€€ + points de permis alors qu'il était impossible qu'entre le moment où je franchissais mon feu rouge et le moment où le feu de la rue perpendiculairement adjacente passerait au vert, je mette en danger la vie de quiconque. C'est la faute à pas de chance.

Mais le plus révoltant encore ce sont les radars. Putain, je comprends pourquoi les ingénieurs qui les ont conçut soient anonymes. Alors entre le radar fixe, le radar mobile, le radar jumelles, le radar tronçon, le radar qui ne flash pas, le radar satellite, etc... bientôt ce sera quoi ? Le radar qui te prélèvera directement dans ton compte bancaire ? Et je n'exagère pas, on est vraiment pas loin de ça. Par exemple, pour les radars mobiles, j'ai cru que c'était juste des voitures banalisées avec un gros caisson sur la plage arrière qui flashent ce qui arrivent trop vite par l'arrière genre ça :
Et bien figurez vous que, j'ai vu dans un reportage la dernière innovation en date pour les radars mobiles : ce sont toujours des voitures banalisées qui ne flashent pas, qui sont bourrées de caméras dissimulées sur tous les côtés mais celle qui analyse la vitesse se trouve derrière la plaque d'immatriculation à l'avant du véhicule, c'est juste abusé ! Surtout quand on dépasse de 5km/h la vitesse autorisée genre en dépassement et/ou en prenant de l'élan dans une montée. Bref, voila pourquoi je rage après ce qu'on appelle une sécurité rentière au lieu d'une véritable sécurité routière avec des forces de l'ordre pédagogues, tolérants et moins vicieux ainsi que des usagers plus respectueux du code de la route, des autres usagers pour enfin la création d'un vrai partage de la route parce que comme le dit la pub, en pensant que ceux qui conduisent mal ce sont les autres, on oublie que les autres... c'est nous et le nombre de morts sur la route ne fera qu'augmenter. 

Voila, c'est fini pour la partie "rage" (ou QQ, T-T, ouin-ouin, coup de gueule, appellez ça comme vous voulez) sur la sécurité routière actuelle. C'était juste pour exprimer mon point de vue, en tout cas ce que je ressens et ce que je constate en tant qu'usager régulier de la route. Je voulais rager aussi sur un autre sujet mais je vois que ce BF commence à faire gros du coup je vais en démarrer un autre, plus petit sur un fait vraiment agaçant dont je suis outré jusqu'à la moelle sur les animes. Je vous dis donc à très bientôt, le FPS sortira bientôt tout comme le FAL#3 mais d'abord, BF#24, restez connectés ! Tarplu'!


mardi 27 mai 2014

Billet Flash #22 - Qu'est ce qu'on a fait au bon dieu ?

Salut à toutes et à tous, Furano ici présent pour le BF 22ème édition et aujourd'hui, bref compte rendu de film sur le très célèbre film français, l'incontournable, le fameux qu'est ce qu'on a fait au bon dieu de Philippe de Chauveron. 
Quand tout le monde autour de soi dit que ce film est à mourir de rire, qu'il faut absolument le voir, que c'est l'une des meilleures comédies française en cette période et qu'il n'y a rien d'autres d'intéressant à regarder (d'après moi et pour l'instant)...on se laisse facilement tenté d'aller le voir et de se faire son propre avis. Bien sûr, j'abhorre TOUTES les comédies françaises et les films français en général SAUF quand ils sont franco-américains et/ou celle-ci qui je pense, est l'exception qui confirme la règle. L'histoire ? Un couple de parents bourgeois ont marié leurs 3 filles à des garçons issus de l'immigration : un algérien, un juif et un chinois. Ils espèrent donc pour leur 4ème fille, un mari catholique, français de souche, le point noir...c'est qu'il est noir et là...c'est le drame ! Toute l'histoire va tourner autour de ce quatrième mariage, va-t-il avoir lieu? Les belles familles respectives du futur couple parviendront-elles à s'entendre? 
C'est un film très comique et très plaisant à regarder. En effet, il traite de thèmes plutôt dans l'air du temps comme le racisme, la xénophobie, le respect, le mariage, le divorce, etc... tout ça dans l'humour et le mélange des cultures et franchement c'est à la fois enrichissant et hilarant. Les stéréotypes de la société franaçaise sont tous dépeints de manière burlesques et chacun y prend pour son grade. Les acteurs jouent très voire même trop bien leurs rôles, on ne s'ennuie pas tout le long, on est même plié de rire car chaque réplique est extrêmement bien travaillé pour, justement, que ça soit drôle. Au comique de mot s'ajoute le comique de situations, de gestes et les quiproquos sont courants ce qui accentue d'avantage le côté "MDR". 
Un film très bien réalisé en somme, mon film français préféré (à des années lumières au dessus des ch'tis et de intouchables), une vraie surprise de constater que les réalisateurs français peuvent pondre quelques fois des comédies bien travaillés de ce genre. 
Donc comme mon entourage, je vous le conseille, c'est un film à voir, très divertissant, à voir et à revoir. Bon, il ne faut pas cacher que le but d'un tel film est de montrer que la haine de l'étranger est dérisoire et qu'il faut accepter les différences, oui, c'est très politique et moralisateur en fait. Mais moi, d'une part, je me prends pas la tête avec ce genre de trucs, je vais juste voir un film sans me poser de question et puis c'est le but du film : faire rire sans entrer dans le domaine du "film polémique" et d'autre part, c'est un sujet assez subjectif, au final, chacun pense ce qu'il veut, si tu penses que c'est bien le cosmopolisme, tu peux comme celui qui pense que vivre qu'entre individus de la même "race" est mieu sans pour autant être raciste le peut. Le tout c'est de savoir faire la part des choses et placer le respect de l'autre avant tout et ce, malgré les différences culturelles, religieuses, éthniques, etc...et aussi les différentes orientations sexuelles. Et oui, vive la république et vive la France, liberté, égalité, fraternité, c'est ça qu'est la vérité ! C'est la vie en société ! 
C'est fini pour ce BF. Alors je tenais à m'excuser pour le prochain FPS qui est vraiment long à rédiger et qui est donc repoussé à une date ultérieure et le FAL de King's Game qui est pour très bientôt. Sinon EoT sort dans une semaine et ça franchement, c'est la fin d'une longue attente, vraiment impatient d'aller le voir. 
Tarplu'! lol


mercredi 21 mai 2014

Billet Flash #21 - Watch dogs, la pub "caméra cachée" du mois

'Soir ! Furano est là et oui, peu de news. La faute à quoi ? Une connexion pourrie comme je l'avais précisé sur twitter mais pas seulement : peu de faits marquants. Alors oui, on a la sortie du nouveau X-Men, de Godzilla et avant on a eut Spiderman MAIS comme je le dirai dans le prochain FPS...ces blockbusters...très peu pour moi, je préfère passer outre. Mais trève de blablatage, maitenant. Je regardais certaines vidéos concernant certaines motos sur Youtube quand je suis tombé sur une pub d'Ubisoft, célèbre éditeur de jeux vidéos, qui m'a donné l'envie de la regarder juste parceque le début m'avais sembler marrant et qu'il me tardait donc de voir pour découvrir à quoi tout ce cirque rimait. J'en fus stupéfait. Il s'agissait de la pub pour la sortie très prochainement sur PS4 et Xbox one de Watch Dogs, un jeu vidéo d'action/infiltration qui a mit selon mes sources, beaucoup de temps à sortir depuis qu'il a été annoncé.
Dans la pub plus bas, on y voit une "caméra caché" d'un réparateur de smartphone (vraiment hilarant) qui piège ses victimes de la manière suivante : il répare les smartphones et en plus, rajoute une application dans ces derniers qui permet aux possesseurs de contrôler les infrastructures urbaines tels que les voitures, les feux tricolores, les lumières, etc...il montre aux "victimes" comment cela fonctionne devant leurs yeux ébahis jusqu'à ce que...je ne vous en dis pas plus et vous laisse regarder ce spot.
Une pub que je voulais partager car elle m'a donné des frissons à cause de sa mise en scène que je trouve excellente : le choix des personnes, le vendeur chelou qui me fait rire à me fracasser le cul contre le sol, les figurants et surtout le décor. Voila une pub qui donne vraiment envie d'acheter le jeu selon moi. Bon, certes, même si l'on préviens au début qu'il s'agit d'une véritable caméra caché, je me permet d'en douter, mais bon, c'est quand même vraiment intéressant à voir.

C'est fini pour le BF d'aujourd'hui ou plutôt de ce soir, fait un peu à la va-vite (comme d'hab' me direz vous) mais là, c'est parcequ'il est presque minuit. J'en profite pour vous dire que j'ai fini King's Game et que je ne tarderais pas à en faire un FAL. Aussi, le FPS#6 sortira sous peu (j'en suis à 50% de sa rédaction), je remercie du fond du coeur les éditions Lumen qui, malgré mon amateurisme, mon franc-parler et mes inombrables fautes d'orthographes m'a quand même linker mon FAL sur Widdershins via Twitter et ça, ça m'a vraiment fait plaisir et c'est quelque chose que je n'oublierai jamais, merci encore.
On se retrouve bientôt, rejoignez mes réseaux sociaux si le coeur vous en dit, je vous souhaite une bonne nuit et un bon réveil demain et que la force soit avec vous ! Je vous aime, les Furanofans ! 
Tarplu'!

vendredi 16 mai 2014

Billet Flash #20 - King's Game

Hey ! Vous m'avez cru mort ?! Et bien sachez que l'on ne se débarasse pas de Furano aussi facilement ! Non, plus sérieusement, j'étais en période d'exams, bon, je le suis toujours jusqu'à fin juin mais ça explique le pourquoi de mon absence prolongée. Pour l'instant, ça va moyen : j'ai réussi la moitié des épreuves avec brio et l'autre moitié...bah...ça s'est pas super super bien passé on va dire (pour pas dire que c'était un échec cuisant). Je profite de cette fin de semaine pour vous faire part de ce BF#20 et oui, déjà le 20ème BF et pas des moindres parcequ'on va parler aujourd'hui d'un roman que j'attendais de pied ferme depuis longtemps : King's Game de Nobuaki Kanazawa. 
Les éditions Lumen nous régalent encore avec un roman du genre thriller au suspens palpitant. En effet, ce roman n'est que l'histoire originale du manga du même nom déjà publié en France aux éditions Ki-oon, manga qui a d'ailleurs, été très bien apprécié par le public français, il en est maintenant à sa deuxième saison. Pour ma part, en ce qui concerne le manga, je l'ai trouvé un peu morose, un peu ennuyant, le style de dessin du mangaka n'est pas ouf et on se croit un peu dans un Judge ou Doubt raté. Bref, ayant été quelque peu déçu du manga, je fus d'une part agréablement surpris de la sortie de ce roman et d'autre part, ayant lu les 50 premières pages, je peux dire que pour l'instant, c'est un roman parfait, chaque mot est pesé au millimètre près, d'ailleurs merci à Yohan Leclerc pour ce travail de traduction magnifique. 
En ce qui concerne l'histoire, le roman relate les aventures de Nobuaki Kanazawa et de sa classe de seconde (oui, l'auteur à donnée son nom complet à son personnage principal) dans laquelle se déroule un jeu bizarre : le jeu du roi, dans lequel un mystérieu individu donne des missions aux élèves via leur téléphones portables. Ces missions doivent être réalisées dans un délai de 24h sinon quoi, les personnes désignées mourront. 
C'est à partir de ce jeu morbide que le héros va devoir mettre tout en oeuvre pour trouver quel est le psychopathe fini qui s'amuse avec la vie des autres et mettre fin à ce jeu débile tout en voyant disparaitre peu à peu ses ami(e)s. 
Voila pour le résumé. Un livre qui restera sur ma table de chevet pendant un petit moment puis qui fera l'objet d'un prochain FAL. Alors oui, pour l'instant, je ne lis que des livres des éditions Lumen, non pas que je leur fais de la pub ou quoi mais simplement parceque leurs sorties actuelles sont vraiment bien et m'intéressent beaucoup (à part peut être Dualed que j'ai lu un peu "sous la contrainte" : on parlait de ce roman comme d'un titre phare à lire absolument, c'est chose faite mais je n'ai pas plus aimé que Widdershins et ce que j'ai lu de King's Game). Et puis aussi, pour l'instant, je n'ai pas trouvé de série qui m'intéresse dans les autres éditions (oui, je choisis avec minutie les livres qui me donnent envie de les lire sinon à quoi bon lire un livre qui ne nous plait point?). J'hésite à acheter Gardiens des cités perdues toujours aux éditions Lumen, sortit hier en même temps que KG. Il m'a l'air bien mais j'ai peur d'acheter un truc trop complexe donc pour l'instant j'attends d'avoir fini KG et après...peut-être. 

Trêve de spéculations, c'est fini pour ce BF, n'oubliez pas, mes réseaux sociaux sont là pour vous guider vers moi. Je suis en train d'écrire le prochain FPS, peut-être le découvrirez vous lundi ? En attendant je vous souhaite un bon vendredi soir puis un bon weekend, je vous donne rendez vous la semaine prochaine PEUT ETRE pour un rythme de parution normal des articles, on verra si je trouve des choses, aller salut ! 
Tarplu'!

lundi 5 mai 2014

#2 Furano a lu...Dualed

Hey yo ! Furano est là. Comment ça va ? Comment vais-je ? Un état de type grippal, ce qui explique mes absences répétées de la semaine dernière, j'en suis désolé. J'espère en tout cas que le FAL#1 vous a plut parcequ'aujourd'hui, on remet le couvert avec Dualed d'Elsie Chapman, son premier roman destiné à un public de jeunes adultes. Un roman dystopique phare des éditions Lumen.

Bref Résumé

Nous suivons les aventures de West Grayer ou plutôt devrais-je dire, la mission de West ou encore sa longue lutte pour sa survie. En effet, la société dans laquelle cette dernière vit est une société futuriste, dystopique, post-apocalyptique où dans l'immense ville imaginaire de Kersh, un "Conseil" établit des règles de vie qui séparent la société en plusieurs catégories : les "accomplis" et les "inactivés". Avant de connaitre la définition de chacun de ces termes, il faut savoir que l'on se situe après une grande guerre après laquelle, la stérilité s'installa dans la ville de Kersh et seul le conseil et leur contrôle sur la technologie procréatrice pouvait permettre à ceux qui le désiraient d'avoir des enfants sous certaines conditions. Il fallait entre autres qu'un couple désireux de procréer fournisse le caryotype du futur enfant à un autre couple de manière à créer un clone. Chaque enfant naissant à Kersh possedait donc un clone élevé dans une autre famille. La loi du Conseil veut qu'entre l'âge de 10 et 20 ans, chaque individu reçoit un ordre de mission (il devient alors un "activé"), qui est de tuer son double (les personnes activés n'ont qu'un mois pour traquer et tuer leur double) afin de devenir un "accompli", c'est-à-dire, un individu unique qui gagne le droit d'exister pleinement : de manger des aliments réservés au accomplis, de poursuivre et terminer ses études, de trouver un travail, de se marier, de fonder une famille, etc...
West Grayer est une ado de 15 ans, toujours inactivé. Elle vit aux côtés de son frère Luc et de son ami, Chord. Le roman raconte comment, après son activation, elle lutte pour survivre à son double.

Le personnage de West Grayer

West Grayer, l'héroïne, est une adolescente imparfaite. Elle revêt de multiples facettes, en tant que narratrice, elle se montre très humaine, sympathique, compréhensive et surtout raisonnable. Elle communiqueses vrais sentiments, ce qu'elle pense réellement au plus profond de son être. Il se noue alors avec le lecteur une vraie relation de complicité. Cependant, j'ai trouvé que dans les dialogues, elle montre une tout autre personnalité en contradiction totale avec ce qu'elle pense : elle dit tout le temps l'inverse de ce qu'elle veut dire par peur d'affronter la réalité. On dirait une émo gothique rebelle, renfermée sur elle-même qui ne cherche que de l'aide et du réconfort mais qui repousse quiconque lui en offre. Je n'ai vraiment pas aimé cet aspect là de sa personnalité. Par exemple, son ami Chord va essayer de lui proposer son aide tout le long du roman et West va continuellement la refuser. Si j'étais à la place de Chord, j'aurais vraiment laissé tombé cette gamine, j'admire la bravoure de ce personnage qui ne cesse de revenir et revenir sans cesse aurpès de cette adolescente incomprise qui repousse l'aide qu'elle cherche. Mis à part ce défaut, West est donc d'un tempérament fort pour son âge : tenace, vivace, énergique, si on devait lui donner un visage, aucune personne au monde selon moi ne saurait mieux le représenter que Ellen Page.
Donc je disais...Elsie Chapman nous raconte avec brio, une histoire dans laquelle West est plongé dans une bataille contre 2 personnes : son double (son clone encore appelé son Alt.) mais avant tout elle-même (son manque de confiance, sa précision au lancer de couteau, son amour pour Chord, etc...). Elle va devoir apprendre à survivre au jour le jour, avec peu de moyens, cherchant sans cesse un endroit où manger et dormir mais toujours dans la peur que son Alt ne l'a trouve avant elle.

L'atmosphère de Kersh

Kersh, ville imaginaire est tellement bien dépeint par l'auteur tout au long du roman que je dirais qu'il s'agit aussi, avec West, d'un personnage principal ou du moins d'un lieu principal, sans quoi, l'histoire perdrait ses repères. En effet, la ville est bâtie autour de 4 quartiers principaux : Calden, banlieue agricole où les buildings laissent place aux champs et aux maisons de paysans (c'est de là qu'est originaire l'Alt de West), Leyton, le quartier le plus riche où les familles aisés n'hésitent pas à louer les services d'assassins pour se débarasser de leurs Alt bien que cela soit strictement interdit (c'est aussi dans ce quartier que se trouvent les quartiers du Conseil), Gaslight, quartier responsable de la production d'eau avec son centre, le Quad et enfin Jethro, le quartier industriel, dans lequel réside West avec en son centre, le Grid, place très animé. On retrouve tous ces lieux tout au long de l'histoire, West fait même des aller-retours fréquents entre eux. J'ai particulièrement apprécié l'atmosphère dans laquelle la ville baigne. On dirait une ville normale dans laquelle les habitants mènent une vie paisible mais on sent qu'une épée de damoclès pèsent sur leurs tête à cause de la loi des Alts. Il est assez hilarant de voir des personnes insouciantes, qui profitent gaiement et naivement de la vie pendant que d'autres, ultra-motivés n'attendent que le moment où ils seront enfin activés depuis qu'ils ont 10 ans. Car en effet, le combat entre 2 Alts est un combat pour la vie, pour montrer au monde que l'on est plus fort et que l'on mérite d'exister. La défaite et la mort d'un individu qui a grandit dans un milieu de vie différent de son Alt, victorieux, qui partage toutes les caractéristiques physiques mais qui par sa victoire, mérite d'exister en tant qu'individu unique, parfaitement intégré à la société. 
Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit, et l’obéissance en devoir. De là le droit du plus fort ; droit pris ironiquement en apparence, et réellement établi en principe.
Cette citation de J.-J.Rousseau dans Du contrat social illustre de manière philosophique la loi des Alts établie par le Conseil : tout individu est soumit à la loi de la jungle ou la loi du plus fort et le seul moyen de trouver sa place est d'être plus fort que son Alt, son alter ego, son "soi-même" mais différent comme le dit si bien le conseil lorsqu'un agent vient au domicile d'un individu pour l'"activé" :
Remportez la victoire. Méritez votre place.
 Ce contexte dystopique et ce concept des Alts est selon moi, magnifiquement bien avancé par l'auteur. J'ai beaucoup aimé ce cadre de danger dans la survie de West. Toujours à se méfier, à jeter des coups d'oeils dans tous les sens, à devenir limite parano quand on sait que le danger peut arriver de n'importe où à n'importe quel moment. A cela s'ajoute l'odeur du sang sur le métal des lames de couteaux, le bruit des balles qui sifflent, le silence de la nuit, le chuchotement du vent mais aussi la pluie qui s'écoule frénétiquement et dont les gouttes qui s'écrasent sur le sol rapellent les rafales des armes à feux qui viennent perforer la chair suante d'un Alt prit pour cible. Le danger, le suspens et la peur sont omniprésents, ce qui rend le roman intéressant.

Conclusion

Dualed est un roman réussi mais moyen. Personnellement, je n'ai pas aimé le fait que l'histoire soit centré uniquement sur un seul personnage d'autant plus qu'il s'agisse du narrateur et que le roman soit raconté à travers ses yeux, soit à la première personne. Je trouve que ça rend l'histoire agaçante quand on aime pas le personnage, on est donc obligé de le supporter jusqu'à la fin car on ne bénéficie que de son point de vue. Ce léger détail est supportable mais m'a énormément déçu. Je viens de remarqué qu'à part West et son Alt, il n'y a pas voire très peu de personnages féminins (j'en compte 3 en vie : la mère de l'Alt de West, une femme noire aux yeux verres et une réceptioniste) alors que les personnages de l'autre sexe, sont nombreux, j'aurais apprécier un peu plus de parité. Sinon, j'ai beaucoup aimé : l'atmosphère de Kersh, la nervosité des scènes d'actions, les personnages secondaires. J'ai moins aimé : le personnage de West (je préfère même son Alt), toujours confus, hésitant, exprimant le contraire de ce qu'il pense, c'est relou; j'ai détester les scènes de "cavales", de fuites et le fait que certains passages ne sont là que pour rallonger la trame principale et ce qui doit être une mission fluide et continue devient un zigzag tordu barbant voire lassant vers le milieu du livre. Je n'attends pas la suite avec impatience mais je l'achèterai quand même je pense, juste pour voir si le style de l'auteur a évolué et si le personnage de West a gagné en maturité et en confiance en soi, pour voir si elle est plus décisif, si ses objectifs ont changés et en quoi sa relation avec Chord s'est-elle amélioré.

Voila, fin de ce 2ème FAL. Dualed était un peu dur à lire pour moi, je ne suis pas habitué à ce genre de roman entre le steampunk et l'urban fantasy même si j'aime bien. J'ai remarqué aussi un petit côté de l'héroïne de Divergente chez West mais aussi dans la manière dont est construite la ville de Kersh comparé à la ville de Chicago. Voir un jour Dualed et sa suite au cinéma serait pour moi un rêve devenu réalité (encore faudrait-il que ce soit absolument Ellen Page dans le rôle principal), mais pour l'instant wait&see (comme on dit, mais j'avouerai que je suis quelqu'un de vraiment impatient).
N'oubliez pas de me suivre sur FB, Twitter et c'est tout pour l'instant je crois. Encore désolé pour la semaine dernière : je m'étais fixé pour rythme de poster une news par jour, mais, je fus malade, du coup, je ne pouvais que poster le FAL#1 jeudi dernier et rien la veille ni vendredi 2 mai. Et je n'ai même pas vu l'avertir sur twitter donc milles excuses. J'essayerai de continuer mon rythme quotidien mais j'avoue être à court de news par moments donc don't panic, wait&see. On se retrouve bientôt, bonne semaine du 5 mai, je préviens direct, le 8 mai, pas de news, voila comme ça c'est dit. Mais un FPS est en préparation pour la semaine prochaine. Les FAL sont en pause car les éditions Lumen ne sortent un roman qui me plait qu'à la date du 15 mai. Le temps de le lire et d'en rédiger le FAL, il s'écoulera au moins 1 mois donc wait&see.
Tarplu'!

jeudi 1 mai 2014

#1 Furano a lu... Widdershins, le pacte de la voleuse

Bonsoir (pour une fois) à toutes et à tous, je m'appelle Furano et aujourd'hui je vais bien (pour l'instant du moins). J'inaugure donc une nouvelle chronique : après les BF et les FPS voici les FAL (comprenez : Furano a lu...) où je partage mon retour (synonymes : mon avis, ma critique, mon compte-rendu de lecture) sur une oeuvre littéraire. Alors il peut s'agir d'un roman, d'une bande dessinée ou d'un manga dans sa version papier (donc pas d'animes) ou de tout autre format faisant appel à la lecture (donc pas de films vous vous en doutez bien). Pour l'heure, je m'attaque à Widdershins, le pacte de la voleuse d'Ari Marmell.

J'ai donc fini ce livre il y a longtemps (genre 2 semaines).Cela m'a pris 5 jours. Je sais que les lecteurs confirmés pourraient le finir en moins de temps que cela mais moi, c'était la première fois que je lisais une oeuvre de littérature jeunesse (ou plutôt jeunes adultes pour être plus précis) et mon rythme était de 2h de lecture par jour pour les 412 pages, peut-être qu'avec le temps, je lirai plus vite même si j'aime prendre mon temps pour bien comprendre ce qu'a voulut exprimer l'auteur et pour mieux comprendre les passages difficiles mêmes s'ils sont relativement peu nombreux dans Widdershins.
Une des difficultées que j'ai rencontré dans ce bouquin est la chronologie. Les chapitres se passent chacun à une époque différente et je fus parfois obligé de revenir 2 ou 3 chapitres en arrière pour me rappeller où l'action s'était terminé pour comprendre le chapitre que j'entamais. Donc pour moi, gros problème de linéarité chronologique qui a nuit à ma compréhension. Après je peux comprendre que c'est fait exprès par l'auteur mais de là à terminer un chapitre au moment où l'action est à son paroxysme pour faire ensuite un chapitre "flash-back" pour ensuite reprendre l'action une cinquantaine de pages plus loin...on est vite perdu et le rythme de l'action s'en retrouve cassé.
Concernant le résumé je vous invite à lire le BF#11 dont le lien est ici pour vous plonger dans le contexte.

Le personnage principal : Widdershins

Le personnage principal, Adrienne Satti est une femme aux traits de caractères forts. Provocatrice, téméraire et parfois cinglée, c'est une voleuse professionnelle qui a appris à faire de la nuit son amie et qui vit entre 2 mondes : celui de la luxure des nobles et celui de la rue où la loi de la jungle domine et où elle doit faire face à des gardes, brigands et assassins qui en veulent sans cesse à sa vie ou du moins qui ne rêvent que de la voir dans un cachot. Afin de se dissimuler dans ces 2 mondes, elle s'est crée de multiple personnalités : Widdershins est sa partie entièremment consacrée au vol et elle est sous cette forme pendant environ 60% du roman c'est donc sa personnalité principale. Adrienne Satti est sa véritable nature qu'elle cherche à tout pris à cacher à cause d'un passé très douloureux. Madeleine Valois est une femme qu'elle incarne lorsqu'elle se retrouve dans des bals mondains de la haute noblesse. Bref, elle arbore différents constumes dont même une nônne vers la fin du roman : elle est comme un caméléon qui s'adapte à chaque environnement. Elle est accompagné d'un dieu personnel avec qui elle communique et qui lui répond à sa façon. Il veille sur elle à la manière d'un ange gardien. En découvrant cela, j'ai de suite fait une comparaison qui résume assez bien le personnage de Widdershins : imaginez la fusion entre Dante de Devil May Cry et Jodie de Beyond Two Souls et vous obtiendrez Widdershins.

On s'attache rapidement à sa nature frivole et ultra provocatrice. On remarque qu'elle parle sans retenue et qu'elle garde toujours son sens de l'humour même dans des situations où sa vie est directement en danger. C'est ce qui la rend stylé je trouve. Et puis j'ai vraiment apprécié sa manière de combattre (son agilité et ses réflexes) ainsi que la façon dont elle utilise son dieu "portable" afin que ce dernier l'aide dans les combats et en général devant les difficultées. La relation entre Widdershins et son dieu est hilarante et cela se ressent surtout lors de leurs conversations. On s'attache donc plutôt vite à ce duo de choc improbable et suivre l'aventure de ces 2 lurons est un vrai régal.

Les autres personnages

En ce qui concerne les autres personnages, ils sont nombreux et variés et on a d'un côté les gentils, ceux qui vont aider Widdershins dans sa quête vers la recherche d'indices sur son tragique et lourd passé afin qu'elle comprenne qui est à l'origine de ses maux et surtout pourquoi puis, de l'autre côté, les méchants qui veulent tuer Widdershins qui sont représenté par 3 entités :
  • les soldats de la garde, menés par le major Julien Bouniard, ils protègent la cité de Davillon des brigands, ivrognes, bandits, assassins et autres menaces qui pourraient mettre en péril les habitants de la cité
  • la guilde des dénicheurs, groupe d'assassins se terrant dans l'ombre menés par la capitaine Lisette et le chef surnommé le seigneur voilé. Guilde dont Widdershins faisait autrefois parti (c'est là où elle "apprit" les rudiments du vol) et dont font partit les 3 traqueurs qui vont la stalker tout le long : Brock, Eudes et Loval
  • les assassins de l'ombre de la mort qui tue dirigé par un mystérieux individu qui n'a d'autres buts que de tuer Widdershins aidé par son armée dont fait partit un être étrange.
    • l'histoire tourne autour de ces assassins et de Widdershins qui va tenter d'en découvrir plus sur eux
Parmis les personnages "gentils" on retrouve le "père adoptif" de Widdershins, Alexandre Delacroix et son valet M.Claude, la meilleure amie de Widdershins, Geneviève Marguilles, l'ancien tuteur de Widdershins au sein de la guilde des dénicheurs, Renard Lambert et pour finir, William de Laurent, un grand homme d'église. S'ajoute à cela des personnages "neutres" qui sont importants à l'histoire mais y jouent un rôle vraiment succint notamment Maurice, moine assistant William; Robin, serveuse dans la taverne de Geneviève, Henri Loubet, assassin de l'ombre infiltré dans la Garde, Béatrice Luchêne, la duchesse de la cité de Davillon, Charles Doumerge, baron d'Orreille et Ritter, hôte de William avant Alexandre Delacroix.
Tous ces personnages reviennent régulièrement au fur et à mesure de l'histoire et il est assez plaisant de se rendre compte que certains d'entres eux réservent bien des surprises. Sans spoiler quoi que ce soit, je dirais simplement que certains méchants se montreront plutôt sympathiques tandis que certains personnages identifiés comme "gentils" ne le seront pas forcement.

Mon avis général

Widdershins est donc un excellent roman. Ari Marmell maîtrise bien son sujet. On dévore ce roman très vite, le suspens à chaque fin de chapitre est insoutenable, l'auteur tient bien le lecteur en haleine. Toutes les phases de scénario sont très bien équilibrées dans ce roman : phases d'actions, de description des lieux, de combats, de dialogues, d'infiltration etc...un pur roman d'aventures comme je les aime. Dommage que Widdershins se retrouve souvent seule. Bon, bien sûr, il y a son dieu en permanence mais les présences humaines qui l'aident dans sa mission sont beaucoup moins nombreuses que celles qui veulent lui mettre des bâtons dans les roues. Il n'y a que Geneviève qui réconforte de temps à autres Adrienne mais elle n'a aucune compétence en combat. Autre point que j'ai bien aimé : une bataille en arrière plan entre un ordre religieux et les forces ensorcelées du mal, je trouve que c'est ce qui donne à l'histoire un aspect envoûtant. Je m'attendais à plus de magie et plus de fantasy mais pour le peu qu'il y en avait, je me suis rendu compte que c'était suffisant et bien intégré. Ah oui, certains passages sont particulièrement gores, de vraies boucheries sanglantes. Voila, c'est tout ce que j'aivais à dire sur ce roman, je vous le conseille vivement, une très bonne surprise, au début, en voyant la pub dans le journal, je m'étais dis : "ah, encore une énième bouse commerciale" et puis je me suis rendu compte en le lisant que non, un très bon roman d'aventures. Il me tarde vraiment de lire la suite pour découvrir ce que cache les nombreux mystères de ce premier tome, mais ça, ce n'est pas pour tout de suite.

Voila pour ce premier FAL, qui a mit, je le sais, beaucoup de temps à sortir (entre les sorties entre amis ou en famille, les vacances et les révisions, je n'ai pas eus beaucoup de temps à moi ce mois-ci), j'essayerai de faire mieu la prochaine fois, en attendant, suivez mes réseaux sociaux, commentez si vous le souhaitez, etc...on se retrouve bientôt pour toujours plus d'actus, peut-être un FPS pour la semaine prochaine et profitez bien de ce pont si vous le faites, tarplu'!